Alors que les Europhiles continuent d’importer à tours de bras, les vols, viols et agressions provoquées par les dits réfugiés, commencent à sérieusement agacer les citoyens. En Espagne, ce weekend une agression a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase…
Petit paradis de 1 500 km2, l’île de Grandes Canarie affronte un important afflux de migrants ces derniers mois, avec plus de 16 000 arrivées depuis le début de l’année, c’est-à-dire six fois plus qu’en 2019. Ils sont actuellement hébergés dans des hôtels de l’île.

Il y a quinze jours, La maire de Mogan, commune dont dépend le port d’Arguineguin à Grande Canarie, alertait sur la crise migratoire à laquelle font face les Canaries :“On est débordés, la situation devient ingérable”, déplorait-elle inlassablement aux journalistes. “En principe, quand un migrant débarque sur l’île, il est supposé passer 72 heures dans les bureaux de la police. Il y décline alors son identité, donne ses empreintes et passe devant un juge qui ordonne ou non son expulsion. Ensuite, il est libéré et accueilli dans un centre ou transféré dans un centre de rétention.” Explique Arcadio Diaz Tejera.

Crédit : InfoMigrants
Depuis plusieurs semaines les agressions explosent sur l’île, certains habitants sont terrorisés
Des images de l’attaque d’un jeune homme de Mogán, par des migrants maghrébins séjournant dans des hôtels des îles Canaries, ont commencé à circuler sur les réseaux sociaux. Le jeune homme a été attaqué après avoir défendu deux filles qui étaient agressées.
Les gens de Mogán en ont assez. La goutte d’eau a été le passage à tabac qu’un groupe d’immigrants clandestins a donné à un garçon pour avoir récriminé son harcèlement de deux mineurs. Cela finira mal. Les libéraux vous accuseront de racisme. Non, c’est de la légitime défense” Témoigne Tercio dans son tweet.
Suite à cette choquante vidéo, les citoyens ont décidé de prendre les choses en mains et se sont déplacés jusqu’au pied des hôtels, où les migrant sont logés par les autorités. Craintifs, les agresseurs sont restés cloîtrés en attendant la police qui est arrivée rapidement pour faire redescendre les tensions. En représailles, un peu plus tard, les migrants se sont rassemblés et ont déambulés dans les rues, en criant “Espagnols facistes”, ces derniers s’en sont pris à des véhicules de citoyens. Les élus de l’île appellent l’Union Européenne à prendre ses responsabilités, avant qu’un drame n’advienne.